Aujourd’hui, l’imagerie IRM est devenue une procédure médicale essentielle pour en savoir plus sur les blessures et les traumatismes internes, qui ne peuvent pas être détectés par des auscultations médicales régulières.
Comment cela commence-t-il ?
L’IRM commence par un dépistage initial du patient au cours duquel on lui demande de retirer les corps métalliques et les gadgets tels que les bijoux, les téléphones portables, les bagues, les bracelets ou les porte-clés. Ensuite, on vérifie le bien-être et les sensibilités du patient (allergies, etc.). Puis, les techniciens expliquent en quoi consiste la méthode de filtrage et répondent aux questions. En fonction des dispositions prises pour l’examen, le patient est conduit dans l’espace du scanner pour la sortie proprement dite. Pour l’IRM, on demande au patient de s’allonger sur le curseur fixé à la machine IRM, sur le dos et la plupart du temps en position ouverte. Les boucles d’imagerie sont organisées autour du corps, une partie à la fois, en suivant la séquence suivante :
- tête ;
- poitrine ;
- genou et ainsi de suite.
La plupart des scanners IRM sont équipés de lentilles d’imagerie et de divers capteurs destinés à différentes infections et situations cliniques.
Situations cliniques
Chaque verre contient de nombreux réglages situés dans différents plans et avec des pondérations de paramètres multiples. Par exemple, pour l’imagerie crânienne, on fait appel à des lentilles appelées » cerveau d’adulte de routine « , » cerveau de nourrisson de routine « , » cerveau d’épileptique « , » angiographie par RM du cercle de Willis « , et autres. D’autre part, des capteurs conventionnels sont présents dans la bibliothèque du scanner, qui peuvent être modifiés pour un type particulier de balayage.
Examens d’ajustement pour l’imagerie parallèle
Dans le cas où l’imagerie parallèle doit être affichée, un balayage de réglage de la boucle peut de même être nécessaire. Cette image floue n’est pas utilisée pour l’analyse ; cependant, elle est fréquemment montrée comme un réglage différent. Positionner les coupes et les groupes d’immersion : Les positions précises et l’angulation des réductions seront déterminées graphiquement. Les paramètres de la convention (les rubriques du codage du stade et de la récurrence, l’épaisseur de la coupe) peuvent être modifiés, de sorte qu’ils sont améliorés pour obtenir les meilleures images qui permettront d’établir un diagnostic précis. Dès que les coupes et les groupes ont été déterminés, puis les paramètres ajustés, on appuie sur le bouton et le processus de sécurisation de l’image commence enfin.
Pré-balayage programmé
Le scanner subit initialement une technique de réglage concise (10 à 20 secondes) connue sous le nom de pré-scan. Le pré-scan comprend six étapes :
- calage rapide de la demande supérieure ;
- réglage/coordination de la boucle, ;
- alignement de la récurrence du foyer ;
- modification du gain de l’émetteur ;
- modification de l’augmentation du bénéficiaire ;
- incitation au cycle de sham.
Il s’agit en fin de compte d’une procédure mécanisée. Des modifications manuelles sont en outre de temps en temps nécessaires. Le scanner IRM est utilisé par un technicien appelé radiographe qui est préparé à la réalisation d’examens d’imagerie.
La machine est connectée à l’ordinateur
La machine est connectée à un PC installé dans une autre pièce, éloignée du champ magnétique du scanner. Le patient a la possibilité de converser avec le technicien par radio et celui-ci aura la possibilité de vous voir sur un écran tout au long de la procédure À certaines occasions, le scanner émettra des bruits significatifs. Il s’agit du flux électrique dans les boucles du scanner qui est activé et désactivé. Les patients reçoivent des bouchons d’oreille ou des écouteurs à porter pour combattre le son extrême de la machine.
Durée du balayage
Le temps de balayage se situe généralement compris entre 15 minutes et une heure et demie, en fonction de la taille de la zone à filtrer et du nombre de clichés à prendre.