1. Portez des lunettes de soleil lorsqu’il pleut
Utiliser les essuie-glaces lorsqu’il pleut est une évidence. Porter des lunettes de soleil pendant que vous utilisez vos essuie-glaces ne l’est pas.
Croyez-le ou non, mettre une paire de lunettes de soleil avec des verres polarisés vous aide à mieux voir pendant une averse – ou quand il neige ou qu’il y a du brouillard d’ailleurs.
Pourquoi ?
Les lunettes de soleil polarisées contrecarrent les effets de la lumière diffusée ou réfléchie subie par le prisme de l’humidité dans l’air. En termes simples : Elles aident à concentrer la lumière.
En parlant de lumière…
2. Il n’y a rien de tel qu’une utilisation excessive de vos phares
Si vous êtes l’heureux propriétaire d’une voiture semi-moderne équipée de feux de jour, alors vous êtes plus ou moins couvert – même s’il faut noter qu’en allumant vos phares, vous allumez également vos feux arrière, ce qui réduit la probabilité d’être embouti.
Mais pour ceux qui ont une voiture plus « ancienne », faites en sorte que l’allumage de vos phares fasse autant partie de votre routine de conduite que la mise en route de votre voiture.
Les pays qui ont adopté des règles d’allumage des phares 24 heures sur 24, comme le Canada, la Norvège et la Suède, ont montré une baisse de 5 à 10 % du nombre de collisions en promulguant ce bout de sécurité au volant dans la loi.
3. (Ne pas) pomper les freins
De toutes les choses qui peuvent se produire lorsque vous conduisez, l’éclatement d’un pneu est facilement celui qui induit le plus de panique.
Votre premier instinct, alimenté par l’adrénaline, va crier : » STOP ! «
Ne le faites pas.
Au lieu d’appuyer sur les freins, appuyez sur l’accélérateur.
Avec un pneu éclaté, vous travaillez avec 25% d’élan en moins que quelques millisecondes auparavant. Pour maintenir votre rythme, vous devez accélérer, ce qui est un peu plus difficile à faire lorsque votre pied appuie sur la mauvaise pédale.
Conseil bonus : vous pouvez éviter la probabilité d’avoir un éclatement en vous assurant que vos pneus sont correctement gonflés – et obtenir une meilleure traction, aussi.
4. Juste déraper
Fait amusant : Lorsque votre voiture fait de l’hydroplanage, il y a tellement d’eau accumulée dans vos pneus qu’ils perdent le contact avec la route ou le sol, donnant une impression de vol momentané. D’où le nom.
Fait moins amusant : 1,5 million d’accidents de voiture se produisent chaque année lorsqu’il y a de l’eau sur la route – plus que la glace ou la neige.
Bien que la chose la plus sûre que tout conducteur puisse faire soit de ne pas prendre la route lorsque les conditions de conduite ne sont pas idéales, ce n’est tout simplement pas une réalité.
Donc, si vous devez conduire au milieu d’une averse et que vous constatez que votre voiture fait de l’aquaplanage, voici la première chose à faire : Rien du tout tant que vos pneus ne touchent pas le sol.
Bien que cette fraction de seconde d’inactivité puisse vous sembler la plus longue de votre vie, attendez que le dérapage s’arrête. Et pendant que votre cœur s’emballe, faites l’inverse avec votre pied sur l’accélérateur : Relâchez-la.
Mais qu’en est-il de vos yeux et de vos mains ? Que doivent-ils faire ?
La même chose que lors d’un dérapage sous la pluie, la glace ou la neige : Coordonner leur mouvement. Continuez à regarder où vous voulez que votre voiture aille et dirigez-vous vers ce point dans la douceur.
C’est vrai que ce soit l’avant, l’arrière ou toutes les roues qui fassent le dérapage.
5. Sachez quelle heure il est
« 10 et 2. »
Ce sont les chiffres qui ont été forgés dans la tête de chaque conducteur pour l’informer de la place des mains sur un volant.
Mais les choses ont changé.
Grâce aux airbags, la recommandation a été mise à jour pour devenir « 9 et 3. »
Les raisons sont doubles : cela facilite les manœuvres de direction main dans la main et réduit la probabilité de fractures du poignet et du bras découlant du fait que ces parties du corps frappent les montants A (la partie de votre voiture qui maintient le pare-brise en place) et les rétroviseurs lorsque les airbags se déploient.
6. Attendez une certaine nuance de vert
Vous êtes un relativement bon conducteur. Ou, du moins, vous essayez de l’être.
Comment le savons-nous ? Vous lisez ce blog.
Mais voilà : tout le monde n’accorde pas tout à fait la même priorité que vous à la sécurité. Beaucoup de conducteurs sont impatients. Impulsifs.
Vous en avez encore la preuve ?
Pensez que 165 000 accidents se produisent chaque année lorsque des personnes grillent des stop. 700 000 autres sont causés par des personnes qui grillent les feux rouges. Cela représente près d’un million d’accidents par an – ou 2 369 par jour.
Cela fait beaucoup de statistiques (effrayantes). Alors, que faire à leur lumière ?
Si vous êtes la première voiture à un feu rouge, regardez des deux côtés avant de traverser l’intersection lorsque le feu passe au vert.
Si vous êtes à un stop, balayez les deux côtés avant de reprendre votre route, juste pour être sûr.
Vous allez agacer le conducteur qui vous suit de temps en temps ? Oui.
Vous ferez-vous klaxonner plus qu’avant ? En effet.
Mais il arrivera un moment où votre approche axée sur la sécurité vous évitera un accident – et au conducteur qui vous suit.